Le 30.04.08 > Darwin
Debout 6h30, départ de l'aéroport d'A.S à 8h20 et arrivée à Darwin à 10h20. Daniel est parti chercher la voiture. Il fait chaud, très chaud. La voiture est grande, ouf ! Les valises passent. Et en route pour déposer ces fameuses valises mais oh surprise, l'hôtel est à 100 bornes de Darwin et bah en route quand même.
13h30 : ça y est on a trouvé l'hôtel. Ma Ma Mia, on dirait un camp de romanos ! Des espèces de bungalows en tôle. On va crever de chaud là dedans ! Et puis en plus on est parti de Darwin sans prendre de sous ni d'eau ni rien du tout. Bon, on va bien voir.
Je crois qu'on ne va pas faire grand-chose cet après midi parce que fatigués des trois derniers jours. C'était tambour battant, pas une minute de repos ; et puis à cause de la chaleur, « du plomb ». On est tout ramollo, un temps d'adaptation est nécessaire.
En fait, nous sommes chez Crocodile Dundee. Village de bungalows au milieu de palmiers, pelouse. Il y a une petite piscine, c'est chouette et la dame a dit à Marine qu'il y a une rivière où on peut « se baigner ». Mais, il y a un gros crocodile méchant, "pas s'approcher trop prêt".
Super réception. Table dressée sous un arbre. Glacière auprès de la table avec eau, bière, jus de fruit, etc. On va nous apporter à manger. Y'a plus qu'à déguster notre petite bière de 375ml ! Et on ira voir les méchants crocodiles après.
Tu parles, chaleur de plomb, sommeil de plomb. En fait, c'est la première fois depuis notre arrivée qu'on s'accorde une journée farniente, en plein air, entourés de palmiers, bananiers, arbres en tous genres et arbustes encore fleuris. Moi pas dodo mais je suis allée dans la piscine. Ça fait drôlement du bien. Eau de la rivière, non chlorée mais salée comme de l'eau de mer.
Diner d'hier soir : tout se présentait sous les meilleurs auspices. Table sous l'arbre, lampe torche, le barbecue était à cuire, bœuf, porc, agneau. C'était tout beau dans le noir de la nuit, sous un ciel étoilé superbe. Nous sommes donc allés nous assoir et là ! Découverte ! Une armée de moustiques était installée à notre table. En fait, on a passé notre repas à se battre avec eux et à essayer de voir ce qu'il y avait dans notre assiette. Evidement, Daniel à été piqué. Mais il n'a pas gonflé. Heureusement, je ne sais pas comment on aurait fait dans ce « no mans land » ! On a assisté au coucher des oiseaux, j'ai vu un Walibi passer sur la pelouse et le ciel était encore merveilleux. Coucher à 20h ! Du jamais vu.